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On roule ensemble - Juillet 2010

Publié le par Patrice

Cette nouvelle rubrique (qui doit son nom à Eric E) a pour but de faciliter et d'encourager les sorties collectives du week-end. Il suffit à ceux qui souhaitent rouler en groupe de le manifester sous la forme d'un commentaire. Ce billet sera renouvelé à la fin de chaque mois.


Généralement le point de départ se situe à la place d'Espère le samedi à 13h 30 ou le dimanche matin à 9 h. Mais bien sûr tous les aménagements sont possibles. A vous de pédaler...

Le Roc Cadurcien, le 4 juin 2010

Publié le par Patrice

Nos amis de Cahors Cyclisme organisent, dans le cadre des "Trois Rocs", le dimanche 4 juillet 2010, le Roc Cadurcien. Le départ est au stade Lucien Deprats de Cahors à partir de 8h30. Sans titre 2Trois circuits VTT sont proposés (70 kms, 45 kms, 25 kms) ainsi qu'un circuit pédestre.

 

Sans titre

La Mountagnole 2010 de la Lanterne

Publié le par Patrice

Dans le cadre de la grande fête du vélo dans les Pyrénées que constitue l’Ariégeoise, la Lanterne avait choisi le circuit de la Mountagnole et ses 118 kms pour 2583 m de D+. L’arrivée au terrible plateau de Beille et la proximité de la cyclo Les Copains le week-end prochain m’avaient dissuadé de m’inscrire sur le grand circuit. La suite prouvera que ce choix était judicieux…

Fête des écoles oblige la veille (où notre trésorier me motive avec cette maxime : « fortes chaleurs prévues demain en Ariège, vomir tu peux dans Beille »), je pars le matin même de l’épreuve. Réveil au son du clairon à 4 heures, je récupère Mathieu à l’entrée de l’autoroute à 5 heures et nous arrivons à Tarascon-sur-Ariège à 7 heures.

Il y a déjà beaucoup de monde, plus de 4000 cyclos participeront à la fête. Nous faisons la queue un demi-heure pour retirer les dossards. C’est un peu la pagaille. C’est le seul point perfectible d’une organisation en tout point remarquable. A 8 h 15, nous sommes dans le sas où nous retrouvons Gégé 82. Je cherche Philippe dont la présence était annoncée sur Radio Espère mais nous sommes 2239 sur la Mountagnole, ce qui rend mes recherches vaines. Des copains Cadurciens, Frankie et Nico sont aussi de la partie, je croiserai ce dernier pendant le parcours.

Le départ est donné. La première heure est menée à 35 à l’heure sans difficultés majeures mise à par la côte de Nalzen. Nous passons dans Lavelanet puis arrivons à Belesta qui marque le début de l’ascension du col de la Croix des Morts. Ce n’est pas encore le cimetière à vélo de Beille mais il fait 9 kms dont la moitié seulement est difficile. Il n’y a pas de descente à proprement parler puis à Belcaire, nous attaquons le col des sept frères et ses 5 kms dont le pourcentage est modéré. Au sommet, je refais le plein d’eau car il fait déjà chaud. Puis, nous continuons jusqu’au col de Marmare dont nous gravissons seulement les derniers kms. Au total, ce triple enchaînement a duré plus d’une heure et demie, jamais très difficile mais usant. Je suis encore bien donc j’en profite pour papoter : ainsi je salue un maillot de Cahors Cyclisme, il se trouve que c’est Serge, l’ancien président de notre club, par courtoisie je le laisse s’envoler dès que la route s’élève. Je discute aussi avec un coureur de Portet-sur-Garonne avec qui j’avais sympathisé à la ronde Castraise et qui grâce à notre maillot fluo m’a repéré.

La descente du col de Marmare me rappelle que ce col fut le premier que j’ai gravi en juin 2006 dans le cadre de la sortie club. Il fut le premier d’une longue série et j’ai une pensée pour les copains espérois qui ont su me donner le goût (voire l’addiction) du vélo en montagne. La descente est agréable bien qu’étroite, je musarde un peu de manière à permettre à une vingtaine de concurrents de me doubler. Arrivée à Caussou, finies les blagues, on ne poursuit pas la descente jusqu’à Luzenac mais on tourne vers la route des Crêtes. Là, c’est une dizaine de kms sous forme de toboggan qui nous attende. Le paysage est magnifique mais on ne relâche jamais. A Appy, je suis heureux car je crois que c’est terminé mais ça monte encore. Enfin, c’est reparti comme en quatorze, nous descendons vers Verdun, la route est abimée et la descente est prudente jusqu’aux Cabannes.

La première partie de la cyclo est terminée, je suis à plus de 28 de moyenne, ce qui est beaucoup trop pour la Lanterne. Chaque fois, on se dit qu’il faut gérer jusqu’au pied de Beille mais à chaque fois on se laisse prendre par l’euphorie collective. Je prends le temps de bien me ravitailler en profitant du show proposé par les Pom-pom girl locales.

Il est 12 h 15, ça y est je mets les roues dans la fournaise du Plateau de Beille et ces 16 kms à 7.9 %. Mon compteur m’indique plus de 30°, on ne descendra jamais sous cette barre fatidique jusqu’au sommet. Je me mets sur le 34*29 et vogue la galère. Je mettrai un peu plus de 2 heures pour grimper. Tout le monde cherche l’ombre. Heureusement, tous les 4 kms un point d’eau est présent, les nombreux bénévoles nous arrosent généreusement. Plus, je progresse dans l’ascension, plus ma vitesse se réduit. Parmi les nombreux concurrents qui me doublent, un avec un maillot de Brax (31) m’interpelle « on sera mieux à la fête d’Espère le 8 août », je discute un peu et poliment je le laisse me déposer et poursuivre son ascension. Au ravito de milieu d’ascension, malgré la difficulté que j’ai à boire ou avaler quelque chose en raison de la chaleur, je m’oblige à prendre un gel car je sens que les forces m’abandonnent. Il y a pas mal de spectateurs sur la route, il y a aussi un peu trop de voitures qui montent au milieu des vélos. Les meilleurs du grand circuit passent régulièrement à une vitesse indécente. J’arrive au km 12 et profite des seuls hectomètres plats de l’ascension. On commence à apercevoir le sommet, un dernier effort et je passe enfin l’arrivée en 5h 46 mn (dont 5 h 31 de pédalage + 15 mn d’arrêts au stand). Je me classe à une honorable (à l’échelle de la Lanterne bien sûr) 822 ème place sur 1778 classés (près d’un cinquième des engagés n’ont pas atteint Beille)

Après avoir déposé le Ferrus à l’écurie, je mange sur l’herbe rapidement en compagnie de quelques compagnons de route. Je n’attends pas le podium, pressentant que je ne serai pas primé. Dans un louable souci de sécurité, pour éviter les accidents, la descente vers Les Cabannes se fait tous les ¼ d’heure encadrée par des motards. Arrivé en bas il me reste douze kms de décrassage pour rejoindre la voiture à Tarascon et prendre le chemin du retour. Je prends des nouvelles de Philou par téléphone que je n’ai pas réussi à voir là haut vu l’effervescence. Il a souffert lui aussi mais a réussi à rallier l’arrivée presque dans les même temps que moi.

Au bilan, une fois la fatigue atténuée, cela reste une belle journée de vélo. La qualité du parcours et le dévouement des nombreux bénévoles y sont pour quelque chose. Beille après 100 kms et sous la chaleur reste toujours une épreuve pour la Lanterne mais je reviendrai l’an prochain sans doute sur le grand circuit… puisque, alternance oblige, il ne devrait pas arriver à Beille…

L'Ariégeoise 2010

Publié le par Patrice

La plus célèbre cyclosportive des Pyrénées aura lieu le samedi 26 juin 2010 au départ de Tarascon sur Ariège.static banner

 Parcours de l'Ariégoise: 165 kms, D+:3102m, départ à 8h00.

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 Parcours de la Montagnole: 117 kms, D+: 2583m, départ à 8 h 30.

 

ProfilM

9° Partie :Iseran oui, non ?

Publié le par Jean-Claude

Ce matin ,le plafond était bas et un peu plus loin la tête était dans le plafond.les choses se dégage vers le barrage de Tignes et devienne agréable à Val d'Isère.le parcourt du jour devait s'arrèter là.Mais en montagne quand le temps va bien il faut en profiter,donc option Iseran activé malgré le col fermé et le sens in.....t.Du coup le dénivellé de la journée passe de 1060 m au double  avec un passage à 2770m.Mais le temps va bien , pas froid ( voir les image sur le nouveau dossier "Au tour de JC 6".Ce soir Tartiflette ( du 1° client du restau du camping saison 2010)pour recharger.Par contre orage sur la Maurienne pour la soirée.Demain si tout va bien ,direction Valloire  avec le Télégraphe au menu.Thierry est arrivée à son escale provençale pour 8 jours aprés une journée à 130 km.

un petit mot pour Yvon ,c'est beau la montagne mais j'ai failli écraser une marmotte à la sortie d'un virage(heureusement ,elle à sifflé!)hexa 2010 6 014

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8° Partie : Quel régal le Cormet

Publié le par Jean-Claude

Dès 7h00 ,départ pour le Cormet,pas de voiture ,au frais pendant 2h00 ( dans les gorges )le temps d'atteindre le lac et là: SUPER.Le ciel bleu ,la neige ,les cascades et dans la descente les marmottes sur la route.J'ai croissé le 1° velo au bout de 3h45.Arrivé à Bourg St Maurice à midi(J'ai fait 80 photos sur la journée).Camping sympa, mais L'Iseran est encore fermé ????

j'ai lu vos commentaires merci encore.

Demain je vais essayer de monter à Val d'Isère pour voir si on peut passer à vélo!

A+ JChexa 2010 6 009

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Fête des associations le 9 octobre 2010

Publié le par Patrice

Je mets en ligne une partie du compte-rendu de notre toujours sémillant trésorier.

 

Salut à toi immortel Président !
Rapide compte-rendu de la réunion de vendredi soir, vu que j'étais d'astreinte pour que tu puisses t'amuser de ton côté...
La fête des associations aura donc lieu le 9 octobre. Il nous faut dire à la mairie le matériel dont on aurait éventuellement besoin. J'ai demandé un vélodrome mais cela a été refusé. Il nous faudra réfléchir à d'éventuelles activités pour une démonstration au nombreux public...
Début de la fête à 14h
Apéro à 18h
Puis repas : fritons, os de canards, salade, frites, omelette norvégienne (à débattre...). Animation : chansons françaises.

L'Immortelle 2010 de la Lanterne

Publié le par Patrice

La troisième édition de l’Immortelle avait lieu le samedi 5 juin 2010 au départ de la bastide béarnaise de Bruges dans les Pyrénées Atlantiques (30 km au sud de Pau). L'Immortelle (nom béarnais de l’edelweiss) est une randonnée cycliste sans classement ni chronométrage dont l’objectif est de promouvoir les dons du sang et d’organes par la réalisation de défis personnels consistant à gravir entre deux et sept cols dans la journée.

 

La Lanterne y était accompagné d'Eric E et de Mathieu. Eric et moi étions arrivés la veille pour une studieuse veillée d'armes tandis que Mathieu en raison de contraintes professionnelles nous rejoignait le lendemain matin au prix d'un réveil plus que matinal et de trois heures de route. Gégé 82 lui était forfait en raison de problèmes dorsaux.

 

Arrivé à 7 heures à Bruges, nous pûmes accomplir les formalités d'usage et apprécier déjà la gentillesse et la convivialité de l'accueil qui allait nous être réservé tout au long de la journée. 250 cyclos comme nous avaient choisi de goûter à cette randonnée, dans une sérénité qui contraste avec les atmosphères de certains départs de cyclosportive que fréquente la Lanterne.

 

A 7 h 30, le trio espérois-st projet s'élançait. Dès le km 1, une petite mise en bouche était proposée avec le col De Tisné, petite côte en fait de 3km à 8% de moyenne, avec des parties très pentues. Puis, nous continuâmes vers Etchartes où le premier col optionnel s'offrait à nous. C'était le col des Spandelles, petite route pastorale de 10 kms à 8.5%  moyenne. Le paysage est magnifique et sauvage par contre la pente est souvent raide, nous nous félicitons de commencer par celui-là. Nous croisons beaucoup de cyclistes partis encore plûs tôt que nous pour éviter la chaleur qui sera un des paramètres importants de la journée. Après un peu moins d'une heure d'effort, nous arrivons au sommet où deux sympathiques membres de l'organisation tamponnent notre carte de route et prennent le temps de nous photographier. La descente est prudente en raison de l'étroitesse et de l'état de la route. Une crevaison plus tard nous nous retrouvons de nouveau sur la route du Soulor.

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En effet le Soulor, que nous avions grimpé l'an dernier dans le cadre de la sortie club, se dresse devant nous avec ses 12 kms à 7.6 %. La pente est régulière et nous en prenons plein les yeux. Nous ne sommes pas seuls, il y a un nombre fou de vélo dans le col dans les deux sens. La lumière est parfaite et les jambes tournent bien. Au sommet, comme à chacun des cols ainsi qu'à Ferrières et Laruns, un ravito est proposé où les bénévoles rivalisent de gentillesse et de disponibilité.

 

Nous repartons vers l'Aubisque en prenant le toujours impressionnant Cirque du Litor. Le passage sous le tunnel permet d'explorer les joies du vélo nocturne. Puis l'ascension vers l'Aubisque débute par son côté le plus facile mais avec malgré tout 6 kms à 5.6%. Au sommet, il commence à faire très chaud. Mathieu, fatigué, décide d'en rester là et rentre vers Bruges. Eric et moi, après avoir profité du panorama unique de l'Aubisque, descendons vers Laruns.

 

Le quatrième col au programme est celui du Pourtalet. Comme le Spandelles avant lui, c'est un col que je ne connais pas et que je souhaite découvrir. Il a un format hors norme, il fait 29 kms à 4.5 % et mène à la frontière espagnole. Eric, un peu inquiet par sa longueur, en équipier modèle consent à m'accompagner un peu dans l'ascension mais m'annonce qu'il n'ira pas au bout. C'est ainsi qu' il m'accompagne jusqu'au km 11 puis décide de rentrer sagement vers Bruges. Sauf que l'adverbe "sagement" n'a pas le même sens pour Eric que pour d'autres. En effet, dans le vocable élémentesque sagement veut dire j'escalade le col de Marie-Blanque sur le chemin du retour. Au total Eric aura a son actif plus de 130 kms et pas loin de 3500 m de D+.

 

Quant à moi, je continue mon effort solitaire. Solitaire n'est peut être pas le terme le plus approprié car en plus des participants à l'Immortelle,  de nombreux groupes d'espagnols sont en reconnaissance pour la célèbre cyclo ibérique, la Quebrantahuesos qui a lieu dans quinze jours. Si la première partie du col est plutôt facile, la seconde est plus délicate. La fatigue se fait sentir, on est dans la septième heure de vélo. La chaleur fait son effet et j'ai de plus en plus de mal à m'hydrater. Enfin après 2h20 d'ascension, j'arrive au sommet. Je tamponne ma carte et décide deprendre un quart d'heure pour récupérer. Je passe la frontière pour investir dans une canette de Coca, seul liquide que mon estomac accepte dans ces moments là.

  divers 0229

J'amorce la longue descente pour retourner à Laruns. Celle-ci me permet de bien récupérer. Je m'arrête au ravito de Laruns où je dévore ce qui pour un vomitologue comme moi est un exploit. Je suis donc requinqué pour les 25 derniers kms qui mènent vers le point de départ. Ce sont les seuls kilomètres plutôt plats de la journée. A Bielle, le Marie Blanque me fait les yeux doux mais je ne répond pas à son invitation. Je me sens mieux mais il est déjà tard, il fait plus de 30 degrés et je ne suis pas sûr que mes jambes aient encore envie de grimper. Je passe à Iseste puis la côte de Louvie Juzon se rappelle à mon bon souvenir. Une photographe de l'organisation est en poste et immortalise le moment. J'arrive enfin à Bruges non s'en m'être perdu dans le village (la Lanterne est magique!). Eric m'accueille à l'arrivée. Mon compteur affiche 160 kms et 8h45 de pédalage pour un D+ de 3900m.

 

Je récupère mon diplôme, nous papotons un peu avec le président de l'ufolep 64 organisateur de l'épreuve qui nous demande d'envoyer le bonjour à Alain, notre président de l'ufolep 46. Eric, compagnon de route toujours très agréable, lui s'est fait des amis dans tout le village. Il faut dire que l'accueil est aussi chaleureux que la température extérieure. Nous remercions tout le monde et reprenons le chemin du retour.

  divers 0199

Au bilan, ce fut une magnifique journée de vélo. Cette épreuve par son parcours et son état d'esprit particulier est vraiment une réussite. Un grand merci à tous les bénévoles à la hauteur de la cause qu'il défendent. On reviendra...

 

Les dangers du vélo électrique par Gégé

Publié le par Gégé

Alors que je faisais du vélo électrique ,à cadre mobile et à rayons cathodique sous le Pont de Wheastone, je fus effrayé par le hennissement d'un cheval vapeur qui broutait des racines carrées dans un champ magnétique,( prés d'un élevage de veaux en batterie). Ce hennissement fut d'une telle intensité qu'il me détourna la tension alors que je roulais ampère tranquille, le sac sur les pôles, tout positif quoi! et, malgré moi, je fis un écart. Pour m'éviter, le conducteur d'un bus qui transportait des ohms agés alla heurter la pile Dupont, sous le choc le véhicule fit un volt-phase, prêt à repartir en circuit fermé.

La suite vous la devinez aisément: la roue pète, le car casse, le pont pète,( il n'a pas de résistance), au début le car nage, il est entrainé par un courant continu vers une barrière de potentiel ,heureusement c'est un car naval, sinon on aurait retrouvé le car à fond et les vieux soulots !

En conclusion: vélo ordinaire ou vélo électrique ,dans les deux cas c'est ....physique! Pour les Vttistes :les vingt volts sont autorisés.

On roule ensemble - Juin 2010

Publié le par Patrice

Cette nouvelle rubrique (qui doit son nom à Eric E) a pour but de faciliter et d'encourager les sorties collectives du week-end. Il suffit à ceux qui souhaitent rouler en groupe de le manifester sous la forme d'un commentaire. Ce billet sera renouvelé à la fin de chaque mois.


Généralement le point de départ se situe à la place d'Espère le samedi à 13h 30 ou le dimanche matin à 9 h. Mais bien sûr tous les aménagements sont possibles. A vous de pédaler...